mardi 6 avril 2010

L'être humain recherche quoi ?

C'est surement grâce à mon ami philosophe si je pense beaucoup plus à des sujet abstrait, qui bien que cela me concerne aussi, est un sujet qui dépasse les limites de mon être. Qu'est-ce que nous recherchons à travers nos rêves, nos manies, nos ambitions. Comme beaucoup je crois que nous recherchons "Le Plaisir".

Définition du mot Plaisir : État de satisfaction

Le plaisir est le contraire de la douleur. Il correspond à un état émotionnel agréable né spontanément d'une situation donnée, de la satisfaction d'un désir ou de la perspective de cette satisfaction. Physique, psychique ou intellectuel, il concerne tous les âges et est, comme le désir, indispensable à l'équilibre d'un être humain. Son refus, conscient ou inconscient, révèle un trouble psychique.

(selon http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Plaisir)

J'adore cette définition, car elle met en évidence l'importance du plaisir dans notre vie en plus de parler de son opposé. Un autre de mes camarades philosophe l'appel le "Le déplaisir" se sentiments douloureux expression de notre insatisfaction.

Selon moi le seul objectif de nos vie est d'augmenter le nombre de "plaisir" et de diminuer le nombre de "déplaisir". La différence entre chaque être humain ce sont nos perspectives de ce qui est un "plaisir" et ce qui est un "déplaisir". Selon cette théorie, tous les êtres humains (sans trouble psychique) sont égoïste. Le fait que certaines personnes se soucient des autres autour d'eux signifie seulement qu'ils éprouvent du "déplaisir" en constatant la souffrance et la détresse des autres; et lorsqu'ils aident ces gens, le "déplaisir" diminue, arrête ou se transforme en "plaisir". Ces personnes sont empathique et généreux, oui; mais aussi égoïste. La preuve, chaque individu, qui vont avoir ce besoins de diminuer la souffrance autour d'eux, vont être généreux à différent degré et vont aider certains type de personnes (race, genre, classe social, type de problème, etc.) plus que d'autres. Après coup, certaines personnes vont sentir qu'ils ont fait assez et d'autres non. Si lorsque je vois quelqu'un souffrir et je sais que je peux aider, ne pas le faire va me faire ressentir de la culpabilité ("déplaisir"). La prochaine fois que situations similaires va se reproduire, j'ai plus de chance d'intervenir pour empêcher se sentiment amère ("déplaisir"), et si en plus je vois que j'ai fais une différence dans sa vie, je vais même sentir une certaines fierté et joie ("plaisir").

Vous allez me dire qu'il y a plein de gens qui n'agissent pas comme cela. Que ce soit l'altruisme à temps plein qui ce dédie à toutes les causes; la personne qui ne peux dire non; ou encore le père de famille prêt à donner son cœur pour son enfant. Pour les deux premier cas, je dirais que cela démontre un trouble psychique, encourager ou non par un groupe de personne (famille, amis et/ou société). Dans le dernier cas, je ne sais trop, je dirais plutôt notre instinct animal de protéger sa progéniture. Dans tous les cas, je ne mis connais pas trop, alors je vais laissez cette questions en suspend. Critiquez moi au besoin.

2 commentaires:

  1. Je me suis longtemps posée la question si l'altruisme existait. Je n'ai pas encore de réponse claire, mais des amis à moi ont soulevé des exemples qui ont semé le doute dans mon esprit. Entre égoïsme et réflexes sociaux, y a-t-il de la place pour la notion d'altruisme dans l'analyse de nos comportements ?

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  2. La définition d'altruisme est: Disposition à s'occuper d'autrui, à s'y intéresser.
    ou:
    Sentiment d'amour instinctif ou réfléchi pour autrui.

    Selon ces définitions, cela n'empêche pas l'égoïste. L'altruisme démontre que la personne est sensible à la souffrance des autres et à aussi la volonté de changer cette réalité. Un bébé n'a pas conscience de l'autre au départ, c'est avec l'observation et la socialisation qu'il apprend. Je crois que l'altruisme existe, mais (comme le reste des choses) que ce n'est pas tout blanc. Si notre bonheur passe par aider les gens autour de nous à ce qu'ils aient une meilleur vie et se sentir concerner par les sentiments des autres, cela fait de nous une bonne personne. Si ma vie est un enfer et que je n'ai ni le temps, ni l'énergie d'aider les autres; je me sens beaucoup moins obliger de le faire, oui c'est égoïste. cela n'empêche pas que dans la vie courante (selon moi), je suis un bon gars généreux et altruisme. Notre instinct de conservation nous fait penser à nous en premier on ne peux changer cela.

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